lundi 25 juillet 2011
Un an d'étoiles
Timothée,
Cet objet que tu manipulais avec tant d'attention, ce jour là sur ta serviette, j'espère que tu l'as retrouvé dans les cieux.
Cela fait un an maintenant que tu es monté là haut, abandonnant les souffrances de tes deux derniers mois de vie. Après les quatre magnifiques mois que tu nous a donnés, à Cécile et Clément, à Bruxelles et ailleurs.
Et depuis toi, nous sommes démunis, sans nouveau bébé à l'horizon. Du coup, on pète un peu les plombs, ta maman et ton papa!
Ce n'est pas simple de continuer comme avant, sans toi. On aimerait tant tenir un-e Bibou-nette dans nos bras!
Mais il faut croire que les zozos ne sont plus ce qu'ils étaient, depuis ta fécondation au printemps 2009!? Alors on fait ce qu'il faut pour améliorer ça, mais ça prend du temps et le temps nous est compté...
Donne nous la force de continuer, et si tu es avec nous, fais en sorte que la vie revienne bien vite dans notre couple!
Clément
dimanche 5 juin 2011
Ton baptême
Le 5 juin 2010, alors que tu étais encore alité en Soins Intensifs à l’Hôpital des Enfants de la Reine Fabiola, nous t'avons baptisé.
C'est Myriam, aumonière de l'hôpital Brugmann, qui t'a donné ce sacrement, avec à tes côtés ta marraine Catherine, soeur de Cécile, et ton parrain Étienne, frère de Clément. Il y avait aussi Martine ta grand-mère maternelle et, bien sûr, ta Maman Cécile et ton Papa Clément.
A ce moment là, sept jours après ton admission en urgence, on pensait évidemment encore que tu t'en sortirais.
D'ailleurs, si tu remarques bien, comme on espérait rapidement un-e petit-e soeur ou frère après toi, on a attendu le 29 mai 2011 avant de ranger tes affaires dans des cartons, en prévision de notre déménagement le 18 juin prochain.
On connaît hélas la fin de l'histoire: tu es parti rejoindre les anges le 26 juillet 2010. Et on souffre terriblement d'être parents désenfantés, avec toi décédé, et pas encore de Bibou-ne vivant-e à nos côtés ou bien à l'horizon.
Alors on ne sait pas si tu peux nous lire de là-haut - Dieu a-t-il une connexion Internet? - mais ce qui est sûr c'est...
On pense à toi. Tout le temps.
Toi, Timothée, tu nous manques affreusement - il n'y a pas de mots.
Tu ne connaîtras pas notre beau triplex de la rue Édouard Fiers, ni tout le reste, bien sûr.
Ce dimanche soir, nous avons allumé une bougie, petite lumière qui te représente et symbolise notre amour éternel pour toi, source d'espoir pour notre vie sans toi, avec toi, pour toi, pour nous.
C'est Myriam, aumonière de l'hôpital Brugmann, qui t'a donné ce sacrement, avec à tes côtés ta marraine Catherine, soeur de Cécile, et ton parrain Étienne, frère de Clément. Il y avait aussi Martine ta grand-mère maternelle et, bien sûr, ta Maman Cécile et ton Papa Clément.
A ce moment là, sept jours après ton admission en urgence, on pensait évidemment encore que tu t'en sortirais.
D'ailleurs, si tu remarques bien, comme on espérait rapidement un-e petit-e soeur ou frère après toi, on a attendu le 29 mai 2011 avant de ranger tes affaires dans des cartons, en prévision de notre déménagement le 18 juin prochain.
On connaît hélas la fin de l'histoire: tu es parti rejoindre les anges le 26 juillet 2010. Et on souffre terriblement d'être parents désenfantés, avec toi décédé, et pas encore de Bibou-ne vivant-e à nos côtés ou bien à l'horizon.
Alors on ne sait pas si tu peux nous lire de là-haut - Dieu a-t-il une connexion Internet? - mais ce qui est sûr c'est...
On pense à toi. Tout le temps.
Toi, Timothée, tu nous manques affreusement - il n'y a pas de mots.
Tu ne connaîtras pas notre beau triplex de la rue Édouard Fiers, ni tout le reste, bien sûr.
Image empruntée à http://fanfanetcie.canalblog.com |
Ce dimanche soir, nous avons allumé une bougie, petite lumière qui te représente et symbolise notre amour éternel pour toi, source d'espoir pour notre vie sans toi, avec toi, pour toi, pour nous.
Cécile et Clément, pour Timothée
vendredi 6 mai 2011
Tous les moyens sont bons...
... pour fabriquer un nouveau Bibou... à moins que ce soit une Biboune, évidemment.
Nous vivons avec notre temps, avec l'âge qui est le nôtre et les "outils" disponibles en 2011.
Alors on croise très fort les doigts de tous les membres - jeu de mots - pour que les efforts entrepris ce mois ci portent leurs fruits. Ce sera le cas de le dire, n'est-ce pas les graines?!
On en reparle bientôt j'espère.
Signé Clément, papa du défunt Timothée,
et aussi,
papa de tous les bébés potentiels qui se cachent entre mes jambes...
Nous vivons avec notre temps, avec l'âge qui est le nôtre et les "outils" disponibles en 2011.
Alors on croise très fort les doigts de tous les membres - jeu de mots - pour que les efforts entrepris ce mois ci portent leurs fruits. Ce sera le cas de le dire, n'est-ce pas les graines?!
On en reparle bientôt j'espère.
Signé Clément, papa du défunt Timothée,
et aussi,
papa de tous les bébés potentiels qui se cachent entre mes jambes...
mardi 22 mars 2011
La famille...
Cher Timothée,
Depuis que tu es parti vers le monde des anges, ta maman et moi, on essaie de te fabriquer un petit frère ou une petite soeur.
Hélas, si toi tu étais venu tout de suite, comme ça, le bébé suivant tarde à pointer le bout de son nez...
C'est dur, tu sais.
Mais on ne perd pas espoir d'accueillir un/e nouveau/nouvelle Bibou dans notre foyer: ce sera maintenant en 2012, rue Edouard Fiers à Schaerbeek...
Clément,
Ton Papa bien aimé
Depuis que tu es parti vers le monde des anges, ta maman et moi, on essaie de te fabriquer un petit frère ou une petite soeur.
Hélas, si toi tu étais venu tout de suite, comme ça, le bébé suivant tarde à pointer le bout de son nez...
C'est dur, tu sais.
Mais on ne perd pas espoir d'accueillir un/e nouveau/nouvelle Bibou dans notre foyer: ce sera maintenant en 2012, rue Edouard Fiers à Schaerbeek...
Clément,
Ton Papa bien aimé
vendredi 4 mars 2011
Chez Papy et Mamy
Mon Bibou,
Il y a tout juste un an, nous étions tous les trois en visite pour la première fois avec toi dans la famille.
A Vichy, Tours puis Paris, Cécile étaient trop contecnts de te présenter, beau Timothée, à Martine, Anne et Alain, puis Catherine, Véronique et Etienne.
Maintenant, tu es parti, et nous sommes tristes.
Clément
Il y a tout juste un an, nous étions tous les trois en visite pour la première fois avec toi dans la famille.
A Vichy, Tours puis Paris, Cécile étaient trop contecnts de te présenter, beau Timothée, à Martine, Anne et Alain, puis Catherine, Véronique et Etienne.
Maintenant, tu es parti, et nous sommes tristes.
Clément
dimanche 30 janvier 2011
30 janvier
Timothée,
Aujourd'hui, on est le 30 janvier 2011.
On aurait dû fêter ton premier anniversaire.
Mais tu es parti il y a plus de six mois, emporté par cette saleté de méningite.
Pour te rendre hommage, nous allons dîner ce soir chez "Il Rifugio", ce chaleureux restaurant italien où l'on s'était si souvent réfugié, quand tu étais en soins intensifs à l'hôpital.
Tu nous manques, Bibou.
Aujourd'hui, on est le 30 janvier 2011.
On aurait dû fêter ton premier anniversaire.
Mais tu es parti il y a plus de six mois, emporté par cette saleté de méningite.
Pour te rendre hommage, nous allons dîner ce soir chez "Il Rifugio", ce chaleureux restaurant italien où l'on s'était si souvent réfugié, quand tu étais en soins intensifs à l'hôpital.
Tu nous manques, Bibou.
lundi 17 janvier 2011
Voyage à Strasbourg
Mon cher Bibou,
Ce soir et jusqu'à jeudi, ton papa est à Strasbourg pour le Parlement Européen.
Si tu avais été encore de ce monde, je t'aurai bien ramené un joujou en forme de Bretzel ou même de saucisse-choucroute.
Mais voilà, tu n'es plus avec nous.
Porte toi bien, embrasse tes camarades anges pour moi.
Clément
Ce soir et jusqu'à jeudi, ton papa est à Strasbourg pour le Parlement Européen.
Si tu avais été encore de ce monde, je t'aurai bien ramené un joujou en forme de Bretzel ou même de saucisse-choucroute.
Mais voilà, tu n'es plus avec nous.
Porte toi bien, embrasse tes camarades anges pour moi.
Clément
lundi 10 janvier 2011
Un mardi ordinaire, sans toi, mon Bibou
C'était un mardi soir banal. Juste j'avais bu quelques bières avec des collègues au Pullmann.
Cécile était au Noël de sa société. De retour au 277 Leopold II, je commence à me préparer un truc à manger.
Après un moment, je pense à toi, mon défunt Timothée. Et là, je me mets à chialer comme une madeleine écrasée par la tristesse de ta perte.
J'ai beau essayer de me contenir, de me répéter que tu as rejoins le Pays des anges. Mais rien y fait, ma peine est trop grande, mon petit Bibou chéri.
Quelle putain d'injustice. Rien ne pourra jamais expliquer cela, ni effacer complètement notre douleur, nous tes parents adorés.
Cécile et Clément, à jamais ton papa et ta maman.
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