lundi 10 janvier 2011

Un mardi ordinaire, sans toi, mon Bibou



C'était un mardi soir banal. Juste j'avais bu quelques bières avec des collègues au Pullmann.


Cécile était au Noël de sa société. De retour au 277 Leopold II, je commence à me préparer un truc à manger.

Après un moment, je pense à toi, mon défunt Timothée. Et là, je me mets à chialer comme une madeleine écrasée par la tristesse de ta perte.

J'ai beau essayer de me contenir, de me répéter que tu as rejoins le Pays des anges. Mais rien y fait, ma peine est trop grande, mon petit Bibou chéri.

Quelle putain d'injustice. Rien ne pourra jamais expliquer cela, ni effacer complètement notre douleur, nous tes parents adorés. 


Cécile et Clément, à jamais ton papa et ta maman.







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Clément