C'était un mardi soir banal. Juste j'avais bu quelques bières avec des collègues au Pullmann.
Cécile était au Noël de sa société. De retour au 277 Leopold II, je commence à me préparer un truc à manger.
Après un moment, je pense à toi, mon défunt Timothée. Et là, je me mets à chialer comme une madeleine écrasée par la tristesse de ta perte.
J'ai beau essayer de me contenir, de me répéter que tu as rejoins le Pays des anges. Mais rien y fait, ma peine est trop grande, mon petit Bibou chéri.
Quelle putain d'injustice. Rien ne pourra jamais expliquer cela, ni effacer complètement notre douleur, nous tes parents adorés.
Cécile et Clément, à jamais ton papa et ta maman.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Bonjour et bienvenue sur ce blog.
Merci de laisser un message pour notre ange Timothée
N'oubliez pas SVP d'indiquer votre nom dans le commentaire.
Clément